Contributeur du mois: d1sr4n (Russie)
01.12.2021 - Pierre Parmentier
Sa page d’accueil et sa page de contribution.
- Bonjour. Voudrais-tu te présenter brièvement à nos lecteurs ?
- Je m’appelle Daniel. Je suis cartographe OpenStreetMap depuis 1339 jours maintenant. J’ai une vingtaine d’années et j’aime beaucoup les hivers.
- Comment et quand as-tu découvert OpenStreetMap ?
- En 2017, je cherchais une alternative décente aux anciennes cartes, mais je n’en ai pas trouvé. Au lieu de cela, j’ai trouvé un outil formidable pour créer une carte pour moi et pour les autres.
- Comment utilises-tu OpenStreetMap ?
- J’utilise OpenStreetMap comme carte lorsque je fais de la randonnée ou que je voyage. J’ai aussi appris beaucoup de nouvelles choses sur la Terre en cartographiant. Parfois, je me contente de regarder la carte. C’est aussi amusant.
- Quelle sorte de contributeur es-tu et dans quelle région cartographies-tu ?
- Un mapper ! Je cartographie surtout la République de Komi, mais il m’arrive aussi de cartographier d’autres régions du monde.
- Que cartographies-tu ? As-tu une spécialisation ?
- Tout est important, alors j’essaie de cartographier chaque détail dans une certaine limite, une certaine résolution. Principalement, les caractéristiques naturelles.
- Quelle est ta plus grande prouesse en tant que contributeur ?
- Cette chose, qui a attiré ton attention, c’est probablement ça.
- Pourquoi cartographies-tu? Qu’est-ce qui te motive ?
- J’aime la déconstruction méditative d’objets complexes du monde réel en formes simples et abstraites. Cela m’apporte la paix. J’aime aussi la carte que j’en tire, mais c’est un avantage secondaire.
- As-tu des idées pour élargir la communauté OpenStreetMap, pour motiver plus de gens à contribuer ?
- OpenStreetMap devrait devenir plus convivial pour se développer. A mon avis, l’important n’est pas de continuer à attirer de nouvelles personnes mais de faire en sorte que ceux qui sont venus d’eux-mêmes restent.
- As-tu des contacts avec d’autres contributeurs ?
- Bien sûr ! Nous communiquons par Messenger. Malheureusement, très peu de gens cartographient la même région que moi, donc je suis seul.
- Quelle est, selon toi, la plus grande force d’OpenStreetMap ?
- La liberté. Dans OpenStreetMap, chacun est libre de cartographier ou de modifier les caractéristiques qu’il souhaite. C’est vraiment agréable et cela donne le bon ton au processus.
- Quel est le plus grand défi pour OpenStreetMap ?
- Le manque de cohérence au niveau des détails. Une zone peut être si bien cartographiée qu’il n’est pas vraiment nécessaire de regarder hors de l’écran en marchant, tandis que l’autre zone voisine peut ne pas contenir une information vitale telle qu’une rivière ou un mur, bloquant votre chemin. Et il n’y a aucun moyen pour l’utilisateur final de le savoir à l’avance.
- Comment restes-tu à jour par rapport à l’actualité d’OpenStreetMap ?
- Lire sur OpenStreetMap, parler aux différents cartographes.
- Pour conclure, y a-t-il encore quelque chose que tu voudrais dire au lecteur ?
- Le tag landcover est génial !
Merci, Daniel, pour cette interview.
Traduit de l’anglais par Pierre Parmentier avec l’aide de www.DeepL.com/Translator.